Monsieur le ministre, que comptez-vous faire pour Mme Ioulia Timochenko, après les interventions du Conseil de l'Europe, dont l'Assemblée parlementaire est présidée par notre collègue Jean-Claude Mignon ? Il y a urgence !
Ma deuxième question porte sur le conflit qui oppose l'Arménie à l'Azerbaïdjan au sujet du Haut-Karabagh. Le groupe de Minsk, coprésidé par les États-Unis, la Russie et la France, « patine » un peu. N'est-il pas indispensable que les représentants du Haut-Karabagh, qui disposent aujourd'hui d'une véritable institution, participent aux négociations ?
Enfin, s'il est en effet réjouissant de vous entendre parler d'économie, à en croire certain hebdomadaire, 200 000 des 240 000 voitures non vendues par PSA cette année auraient été destinées à l'Iran. Y a-t-il eu, comme on le prétend, une interdiction ? Si tel est le cas, pourrait-elle être levée ?