Cela permet, mon cher collègue, de résoudre un certain nombre de problèmes et de bien définir les règles de disponibilité des personnels, de savoir quand ils peuvent partir et quand ils ne le peuvent pas. Je peux vous dire que j’ai été confronté à des cas difficiles, comme celui d’un veilleur de nuit qui était aussi sapeur-pompier : pouvait-il être appelé à tout moment ? Cela pose des problèmes !
Autre problème d’ordre sociologique : on a 90 % de salariés dans la force de travail française. Or il arrive souvent que ces salariés n’habitent pas dans la localité où ils travaillent. Certains sont pompiers à l’endroit où ils travaillent mais, en règle générale, ils sont pompiers volontaires dans la localité où ils ont leur domicile.
On constate aussi, il faut bien le dire, une baisse du bénévolat et de l’engagement citoyen.