Christophe Sirugue, secrétaire d’état chargé de l’industrie :
De ce point de vue, nous avons maintenu un fonds de péréquation mis en place en 2016 à hauteur de 20 millions d’euros par an. Il s’agit là d’entraide, et nous ne pouvons qu’admettre que cette entraide est nécessaire dans le réseau.