La région pourra fixer d’autres priorités sans que les départements aient la possibilité d’intervenir.
Cela vide le texte de sa substance, au point que nous allons changer d’avis, je crois : nous n’allons pas voter en faveur d’un texte donnant le leadership à la région, laquelle pourra déterminer la politique linguistique à suivre sur l’ensemble de son territoire. Je ne crois pas que ce soit le bon échelon.