Je veux vous rappeler aujourd’hui que nous serons tous jugés.
Jugés pour avoir laissé l’avortement devenir un outil politique de la gauche pour maquiller son électoralisme en progressisme.
Jugés pour avoir laissé la droite s’effrayer quelquefois de son opposition à la suppression de la vie à naître.
Jugés pour avoir laissé la dissolution de la pensée française entraîner la désignation de l’embryon comme premier ennemi de la Cité.