Je n'ai pas à juger les pratiques de nos concurrents. Il me paraît hasardeux d'imaginer que nous avons perdu des marchés à cause de valises offertes par d'autres…
Nous sommes toutefois interpellés par le fait qu'au sein d'Azersu, les marchés de construction d'usine ou de réseaux restent extrêmement fermés. Nous avons du mal à obtenir des informations sur les appels d'offres et à pouvoir y participer de manière efficace. La presse locale s'en est fait l'écho récemment.
Nous n'avons pas été amenés à rencontrer de pratiques de corruption – ou, en tout cas, nous avons réussi à nous en tenir éloignés.
Nos métiers sont au coeur des droits humains : l'accès à l'eau, le droit à vivre dans un environnement propre, qu'il s'agisse du traitement des eaux usées ou des déchets. Nous avons le sentiment d'y contribuer, dans la mesure de nos moyens, à travers les contrats que nous exécutons.
Nous sommes attentifs à promouvoir la diversité, mais nos équipes sur place sont assez restreintes. Notre action au sein d'Azersu me semble positive car elle permet d'améliorer la formation des opérateurs et des cadres. Celle-ci est structurée par des diplômes pour permettre aux salariés de voir leur parcours de formation reconnu.