En l’espace de deux ou trois législatures, grâce à des amendements parlementaires tous très intéressants, nous avons créé plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d’exonérations ou d’abattements, qui concernent aussi bien la plantation des chênes truffiers que les quartiers prioritaires de la politique de la ville ou encore la méthanisation. Je me demande parfois si tout cela est bien raisonnable.