J’ai entendu parler d’une « taxe YouTube » mais, en l’occurrence, il s’agirait plutôt, à mon avis, d’une « taxe Dailymotion », dès lors qu’il serait bien plus facile de la recouvrir, selon un processus dont la complexité n’aura échappé à personne, auprès d’un diffuseur français que d’un diffuseur établi à l’étranger.