Je conclus, monsieur le président. Si vous jugiez, Monsieur le secrétaire d’État, qu’il était important, il aurait fallu que vous le traitiez dans le cadre de ce projet de loi de finances rectificative, ce qui nous aurait permis de disposer d’une étude d’impact.
L’attitude du Gouvernement recèle donc pas mal d’hypocrisie. Il nous dit en effet : « Ah oui, c’est important, il faudrait faire quelque chose et donner un signe » et dans le même temps : « Courage, fuyons ! La question est compliquée, c’est une véritable usine à gaz et, en outre, des problèmes se posent au niveau européen. »
Ces deux amendements identiques constituent un signe qu’il faut donner en faveur du financement de la création, auquel un certain nombre de collègues dans cet hémicycle sont attachés.