Il laisse la gauche en ruines, son camp en lambeaux et la France dans l’état que l’on sait.
C’est dans ce contexte institutionnel délétère que vous prenez vos fonctions, monsieur le Premier ministre, si j’ai bien compris, en récompense de services rendus.
Les Français savent que vous ne ferez rien ou presque dans les quelques semaines qui nous séparent de l’élection présidentielle.