Monsieur le président Chassaigne, je connais votre passion, votre sincérité et aussi votre habileté qui n’a d’égale que les deux premières, c’est dire si elle est grande. Je sais aussi la parfaite conscience que vous avez en toute circonstance du calendrier et l’intérêt qu’il peut y avoir, au moment le plus opportun, à soulever telle question plutôt que telle autre. Je vous félicite donc, monsieur Chassaigne, pour votre question.