Imaginez les conséquences d’une limitation de prescription pour toute nouvelle approche qui n’entrerait pas dans les recommandations de bonnes pratiques – y compris celles basées sur des découvertes scientifiques publiées –, au prétexte qu’il faudrait attendre une réactualisation des recommandations ? Car des publications, il y en a tous les jours, alors que les recommandations ne sont renouvelées que tous les cinq à dix ans. Si vous ouvrez cette porte en matière d’autisme, vous savez fort bien que vous l’ouvrirez pour tous les domaines de la médecine. C’est cela, la réalité de votre proposition.