Mes chers collègues, lorsqu’on écoute Mme Duflot, on peine à croire qu’elle ait pu siéger au sein d’un gouvernement de la République française.
Pardon de vous le dire, ma chère collègue, mais vous semblez sous l’effet d’une sorte de décalage horaire. Les propos que vous avez tenus sont une sorte de pot-pourri de tous les fantasmes gauchistes contre l’État, contre la police.
C’est, hélas, une insulte à l’endroit des dizaines de milliers de militaires de la gendarmerie nationale et de fonctionnaires de la police nationale qui, chaque jour, chaque nuit, essaient de travailler au service des Français.