Comme d’autres députés de mon groupe, j’ai voté l’état d’urgence, la première fois, parce qu’il fallait faire face à une menace et parce qu’il fallait que nos forces de l’ordre aient les moyens de réagir.
La question qui nous est posée aujourd’hui n’est pas celle-ci : c’est celle de la normalisation de l’état d’urgence, de cette poursuite, de ce renouvellement perpétuel de l’état d’urgence.