Oui, aujourd’hui, au-delà de l’opposition entre la ruralité et la métropole, il faut renforcer les partenariats entre les grandes villes et métropoles, et leurs « espaces arrière ». La dynamique métropolitaine ignore trop souvent ces espaces d’avenir, avec leurs atouts : une démographie positive, les espaces, la nature, l’eau. Ils doivent eux aussi bénéficier des mêmes services, de transports collectifs de qualité et, bien évidemment, du très haut débit.
Parce que ce texte permet une clarification et une normalisation de la spécificité du statut de Paris et du Grand Paris, le groupe radical, républicain, démocrate et progressiste votera en sa faveur. Mais permettez-moi, madame la secrétaire d’État, de vous rappeler ces vers de Jean de La Fontaine, né à Château-Thierry, dans la fable Le Renard et le Bouc : « En toute chose il faut considérer la fin. » Paris et les métropoles seules ne sont pas des finalités pour la France.