Philippe Gosselin pose un problème de droit important avec le risque de discrimination que soulève ce texte. La question est d'importance et nous écouterons, madame la garde des sceaux, votre réponse avec la plus grande attention.
Nous voyons bien, heure après heure, jour après jour, que ce projet de loi est dangereux pour le corps social et pour sa cohésion. Il est donc temps, mes chers collègues, de reprendre votre liberté de conscience. En tant que parlementaires, nous n'avons pas de mandat impératif : le peuple attend de nous cette liberté, que nous soyons de droite ou de gauche.
Ce projet est trop important pour ne pas dépasser les clivages de nos partis. Réagissez tant qu'il en est encore temps !