L’argument selon lequel la préfecture de police est un grand vaisseau qu’il ne faut pas déséquilibrer s’entend.
Il ne faut pas brutalement, dans un texte qui après tout n’a qu’une portée politicienne, pour les raisons exprimées préalablement, mettre à mal la préfecture de police.
Le chemin évoqué par Sandrine Mazetier est celui qu’il faut continuer de suivre quelles que soient les évolutions politiques. Ce n’est pas parce qu’il y a des inquiétudes à la préfecture de police qu’il ne faut renoncer. Je vais retirer mon amendement.