Je tiens à le dire ici, monsieur le président, parce que nous nous sommes mobilisés, nous avons réalisé des vidéos de protestation en ligne : cette décision pourrit la vie de dizaines de milliers de personnes, crée des nuisances sonores, de la pollution, entraîne une perte de temps considérable ; ses conséquences économiques sont considérables sur nombre de commerces qui, en cette période de fêtes, ne peuvent plus procéder à des livraisons ni travailler. Il est inconcevable de continuer ainsi !
L’expérimentation se terminera au moment des élections présidentielles, en avril 2017. J’espère qu’elle tiendra jusque-là tant l’exaspération monte !
S’agissant des axes d’intérêt régional, il faut proposer un système où la décision soit l’affaire de l’État – c’est-à-dire du préfet de police, éventuellement en lien avec le préfet de région, en consultant les maires concernés.