Le Gouvernement et le rapporteur me semblent bien prudents. C’est sage de leur part mais en cette affaire, si le Conseil d’État a fait son travail, et il le fait très bien la plupart du temps, le Parlement a aussi pour rôle de définir la ligne.
Je vous invite, mes chers collègues, à mesurer les conséquences d’un rejet de ces amendements. Et je tiens à saluer la démarche d’Alexis Bachelay qui, en toute responsabilité, soutient ici la politique du STIF, dans l’intérêt des Franciliens.