Je vais vous donner la parole, monsieur Bloche, puisque vous la demandez et que deux orateurs peuvent s’exprimer après la commission et le Gouvernement. J’invite néanmoins chacun à prendre conscience de la situation. Il est treize heures dix. Si l’on continue comme cela, je lèverai la séance et nous reprendrons à quinze heures pour une poignée d’amendements. Si personne ne veut faire preuve d’esprit de responsabilité, eh bien nous appliquerons le règlement de façon bête et méchante !
Monsieur Bloche, vous avez la parole.