Si le film marche, l’investissement rapporte, mais s’il ne marche pas, l’investisseur perd de l’argent.
Notre assemblée a voté l’article 4 ter en première lecture. Certes, les amendements nos 496 et 527 , que je regrette et que je trouve un peu inutiles, ne visent pas à supprimer le dispositif des SOFICA – je vous rejoins sur ce point, monsieur le président de la commission. Cependant, la suppression l’article 4 ter obérerait l’attractivité du dispositif, qui serait inévitablement et très rapidement amené à dépérir. En d’autres termes, supprimer l’article 4 ter reviendrait à signer l’arrêt de mort des SOFICA, dont je n’ai pas besoin de rappeler l’utilité, notamment pour les films d’animation et de fiction. Je vous ai décrit les différentes contreparties en première lecture ; je ne vais pas vous lasser une seconde fois !