Je ne m'appuie pas sur des études, mais sur mon expérience personnelle. D'une part, toutes les précautions sont déjà prises, que ce soit par les services de l'État ou par le conseil général, pour s'assurer que les personnes qui entament une démarche d'adoption veulent le bonheur des enfants. D'autre part, la méconnaissance de son passé et de ses origines est le plus gros souci d'un enfant adopté. Cela lui ronge l'esprit.