Pour ma part, je suis totalement d’accord avec l’argumentation que vient de développer Christophe Caresche, et qu’a reprise Véronique Louwagie, sauf sur deux points.
Le premier porte sur votre acceptation, monsieur Caresche, d’une hausse de 0,2 % à 0,3 % de la taxe sur les transactions financières en contrepartie de la suppression de son élargissement aux transactions intra-day. Ce dernier point est pour moi une évidence ; mais je voudrais aussi appeler votre attention sur l’augmentation du taux de 0,2 % à 0,3 %, qui à la fois sera très pénalisant pour la France dans le contexte du « Brexit » et qui, du point financier, compte tenu de l’étroitesse de l’assiette, provoquera sans nul doute une attrition de la recette.