Nous avions demandé un grand débat. On nous a dit : « Le grand débat n'est pas nécessaire. Dormez, braves gens, tout est sous contrôle ! Le Parlement débattra, et vous verrez, on vous assure d'un projet qui sera bon, que vous combattrez peut-être politiquement, mais qui sera cohérent. »
Non seulement nous doutons de plus en plus de sa qualité et de son intérêt politiques, mais en outre, au fur et à mesure de nos échanges, des fissures juridiques apparaissent. Nous n'avons eu de cesse, cet après-midi, que nous n'ayons démontré, malgré les dénégations du Gouvernement, les éléments de fragilité relatifs au code civil. Et ce soir, alors que nous dénonçons la possibilité que la PMA et d'autres éléments rentrent par la fenêtre, nous apprenons par la presse, par Le Figaro, me diront certains,…