Nous n’en avons pas assez ; il est donc souhaitable d’en accroître le nombre.
Ensuite, l’observation des flux actuels entre le L3 et le M1 montre qu’en termes de places, nous avons les masters pour accueillir les étudiants qui demandent à poursuivre leurs études après la licence. Parmi ces masters, il y a des masters de niche, ou plus spécialisés que d’autres, pour reprendre les termes de Mme la rapporteure, et des masters plus généralistes. Cela ne veut pas dire que les premiers soient meilleurs que les seconds ; ce sont simplement deux types de masters différents. Que des masters de niche avec un nombre de places par définition plus restreint puissent ne recruter que ceux justifiant d’un certain niveau pédagogique, ce que permet cette proposition de loi, et que ceux qui n’auraient pas été pris aient la possibilité de se tourner vers des masters plus généralistes ne crée pas un système à deux vitesses.