Je refuse que l’on parle de bons masters et de moins bons. Tout dépendra aussi de la qualité de l’encadrement. C’est pourquoi il y a – et il y aura toujours –, derrière cette proposition de loi, que j’espère voir adopter, la nécessité d’avoir un gouvernement ambitieux dans les moyens qu’il consacre à l’enseignement supérieur. Si vous réduisez les moyens consacrés à l’enseignement supérieur, tous les masters n’auront plus les moyens de fonctionner, et nous risquons alors, c’est vrai, d’avoir un système à deux vitesses. Avis défavorable.