Nous estimons que l’accord du 4 octobre dernier, loué par la majorité, n’est pas une bonne nouvelle pour l’université française à moyen terme. En effet, c’est un peu du donnant-donnant, au détriment des étudiants eux-mêmes. Le rapporteur du Sénat s’est d’ailleurs montré très dubitatif, même si son texte intègre maintenant la totalité du compromis qui a été accepté. Une année supplémentaire pour mûrir le choix des étudiants pourra être une chance pour obtenir la filière souhaitée : telle est l’objectif de cet amendement.