Intervention de Dominique Nachury

Réunion du 14 décembre 2016 à 9h30
Commission des affaires culturelles et de l'éducation

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDominique Nachury :

Il y a deux types d'entretiens, selon un protocole précis : une forme libre, plutôt basée sur le récit, et une forme encadrée, avec des questions fermées ou semi-fermées. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce protocole et sur les personnes qui interrogent les témoins ? Pouvez-vous nous donner des exemples des questions qui sont posées ?

Vous avez défini quatre cercles pour le choix des personnes interrogées, où figurent survivants, familles des victimes, forces de l'ordre, habitants des quartiers touchés, du Grand Paris et de trois villes françaises plus éloignées, à savoir Caen, Metz et Montpellier. Les zones rurales semblent totalement exclues. Il aurait sans doute été intéressant d'avoir des témoignages de personnes beaucoup plus éloignées. Se sont-elles senties totalement protégées ?

Vous menez un travail transdisciplinaire, avec de nombreux sujets d'étude. Les disciplines d'étude sont-elles exhaustives ? Voit-on émerger d'autres sujets d'étude, que l'on n'entrevoyait pas à l'origine ?

Les partenaires associés à ce programme sont nombreux et importants : le CNRS, l'Inserm, des universités, des collectivités. Mais, à l'exception du journal Le Parisien, on voit peu de partenaires privés.

Enfin, a-t-on estimé le nombre de chercheurs qui vont travailler sur ce programme ?

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