Vous avez employé un mot qui a retenu mon attention, celui de « confluence ». Je suis plutôt optimiste sur le potentiel de l'Azerbaïdjan – nonobstant, certes, quelques réserves.
Évoquons la Russie, pour répondre à la première question du président. Elle est surtout, que je sache, un allié privilégié de l'Arménie où se situe la plus grande base militaire extérieure russe.