Nous sommes donc face à une impasse future. Il est vrai que cette mandature a connu des taux d’intérêt anormalement bas, complètement fous, en raison d’une politique monétaire assez folle, même si elle avait ses avantages.
C’est cependant sans flagornerie, monsieur le secrétaire d’État, que je voudrais vous rendre hommage. Vous avez tenu votre poste, sans renier vos convictions sur les priorités de la dépense publique et sans céder sur la trajectoire, même si l’on peut toujours estimer qu’il aurait été possible de faire mieux. Je souhaite d’ailleurs à ceux qui vous critiquent aujourd’hui de faire aussi bien que vous demain.
Un mot, maintenant, à propos de la Corse.