Je vous remercie de m’avoir autorisé à dépasser quelque peu mon temps de parole, madame la présidente. J’interviendrai sans doute ultérieurement car je pense que ce jour est historique, monsieur le ministre. L’enjeu n’est rien de moins que de résoudre un problème que la Corse a supporté depuis deux siècles. Avant nous, ici dans cet hémicycle, d’autres élus de la Corse en avaient eu l’idée. Eh bien, nous le ferons ensemble aujourd’hui !