Je vous confesserai tout d'abord que l'Azerbaïdjan est un pays sur lequel je n'ai pas eu l'occasion moi-même d'investir intellectuellement, pour des raisons qui tiennent peut-être à la rareté des échanges à haut niveau. Comme vous le savez, les coups d'accélérateur que peut connaître l'activité des administrations tiennent largement aux échanges à très haut niveau. Or j'ai été nommée à mon poste après le déplacement que le Président de la République y avait effectué.
Au demeurant, les sollicitations des entreprises amenées à y travailler ne sont pas quotidiennes, du moins à Paris, probablement parce que leur implantation sur place est assez ancienne et qu'elles ont depuis longtemps les réseaux nécessaires, le mode de fonctionnement adéquat…