Sur le martyre d'Alep, dont les quartiers ouest "contrôlés par le régime" ont été bombardés par nos "rebelles" terroristes modérés pendant 4 ans et sans que l'on s'en émeuve beaucoup, M. Goasguen semble tenir ses renseignements de la télé, ou du Quai d'Orsay.
Alep qu'il disait soudain à feu et à sang juste parce qu'il voulait sauver nos mercenaires sur place (et leurs ressources françaises ?), est libéré. Pendant que la coalition fait des centaines de dommages collatéraux qui ne nous émeuvent pas trop non plus, pendant que les civils du Yémen subissent les bombardements saoudo-US, les aléppins pansent leurs plaies et pensent à reconstruire. Mais comme les damascènes, ils continuent de subir les manques d'eau et de courant.
Car les habitants de Damas doivent vivre sans eau, depuis des semaines. Ils n’ont déjà plus d’électricité (la plupart du temps) et ne trouvent plus de mazout, celui-ci étant déversé dans l’eau potable par les amis de la France : c’est en effet un cadeau de Noël et de Nouvel An de nos chers terroristes « modérés », qui ont saboté le système de distribution situé dans une banlieue de Damas où ils sévissent, s’amusant à souiller le précieux liquide, à endommager les installations, puis carrément à couper l’eau. Pas un mot de ce crime de guerre dans nos médias (radios, télévisions, journaux, etc…), pas un seul mot. Silence radio, silence télé, silence papier.
Pour que leurs débats aient quelque impact international, il serait utile que nos députés se renseignent mieux.
Vous trouvez ce commentaire constructif : nonneutreoui
Le 17/01/2017 à 17:41, chb17 a dit :
Sur le martyre d'Alep, dont les quartiers ouest "contrôlés par le régime" ont été bombardés par nos "rebelles" terroristes modérés pendant 4 ans et sans que l'on s'en émeuve beaucoup, M. Goasguen semble tenir ses renseignements de la télé, ou du Quai d'Orsay.
Alep qu'il disait soudain à feu et à sang juste parce qu'il voulait sauver nos mercenaires sur place (et leurs ressources françaises ?), est libéré. Pendant que la coalition fait des centaines de dommages collatéraux qui ne nous émeuvent pas trop non plus, pendant que les civils du Yémen subissent les bombardements saoudo-US, les aléppins pansent leurs plaies et pensent à reconstruire. Mais comme les damascènes, ils continuent de subir les manques d'eau et de courant.
Car les habitants de Damas doivent vivre sans eau, depuis des semaines. Ils n’ont déjà plus d’électricité (la plupart du temps) et ne trouvent plus de mazout, celui-ci étant déversé dans l’eau potable par les amis de la France : c’est en effet un cadeau de Noël et de Nouvel An de nos chers terroristes « modérés », qui ont saboté le système de distribution situé dans une banlieue de Damas où ils sévissent, s’amusant à souiller le précieux liquide, à endommager les installations, puis carrément à couper l’eau. Pas un mot de ce crime de guerre dans nos médias (radios, télévisions, journaux, etc…), pas un seul mot. Silence radio, silence télé, silence papier.
Pour que leurs débats aient quelque impact international, il serait utile que nos députés se renseignent mieux.
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