Je vous demande donc de préciser les mesures que vous entendez prendre pour que l’État et, accessoirement – car ce n’est évidemment pas vous qui en décidez – les collectivités locales maintiennent leur soutien financier à un enseignement qui a fait ses preuves et les fait encore. Nous ne sommes plus à la fin du XIXe siècle ni au début du XXe et l’idéologie devrait aujourd’hui faire place à l’intérêt de notre système éducatif, à l’équité et à l’intérêt de nos enfants.
Je souhaiterais enfin, madame la ministre, que votre réponse puisse être qualifiée de « décontractée », car il s’agit ici d’une séance de questions cribles et non pas de questions au Gouvernement. Nos échanges pourraient donc être placés sous le signe…