Merci pour votre question, monsieur le député, qui me permet d’insister sur la rentrée 2017 telle que nous l’avons préparée. En termes de moyens, cette rentrée sera inédite. Pour la première fois depuis le début du quinquennat, le premier degré connaît une baisse démographique, avec 12 000 élèves en moins en France ; or, nous créons 4 300 postes dans le premier degré.