Je le répète, car ceux qui s’époumonent aujourd’hui comme si tout cela était une évidence ont toujours abordé l’éducation en partant du haut : quand il fallait réformer, c’était d’abord le lycée, quand il fallait donner plus de moyens, c’était d’abord les classes préparatoires… Mais c’est bien nous qui, à partir de 2012, avons remis les choses dans le bon ordre : les fondamentaux, c’est dès le plus jeune âge que cela s’acquiert.