Le comité suggère également d’étendre aux jeunes garçons la vaccination contre le cancer de l’utérus, dont l’intérêt est contesté par de nombreux médecins.
Ainsi, ce rapport n’a aucunement tari les inquiétudes des populations, en particulier celles des parents de jeunes enfants. Les seuls à se frotter les mains sont les laboratoires pharmaceutiques.
Bien sûr, la vaccination a rendu des services inestimables et nous en aurons besoin encore, mais ce n’est pas en multipliant les obligations sans répondre aux questions légitimes des parents que l’on rétablira le consensus.