Pourtant, c’est sur la foi de ces résultats calamiteux, désastreux, que la maire de Paris a décidé de la fermeture de l’axe ouest-est, c’est-à-dire la rue de Rivoli. C’est un bras d’honneur adressé aux Franciliens, au commissaire enquêteur, aux entrepreneurs, aux 130 maires de la métropole du Grand Paris, mais également au Gouvernement, qui s’était engagé devant l’Assemblée nationale à respecter la plus large concertation avec les élus avant toute autre décision définitive de la Ville de Paris. Ces destructions massives en matière d’économie, d’écologie et d’emplois sont catastrophiques pour la région Île-de-France et la métropole du Grand Paris.
Monsieur le Premier ministre, il s’agit d’une question de santé publique, d’une question économique, d’une question essentielle pour la vie des Franciliens. Allez-vous mettre un terme à ces dispositions ?