On ne va pas imposer à certains abattoirs des règles que d’autres n’auraient pas à appliquer. Je vous le répète : je suis favorable à la généralisation à la condition qu’il y ait au préalable une évaluation, au travers de l’expérimentation, comme le propose le sous-amendement de Mme Massat, avant de généraliser le dispositif, ce qui est tout de même bien l’objectif final.
La généralisation en début d’année prochaine laisse un an pour mener des expérimentations, travailler sur le fond, mettre au point un dispositif qui respecte aussi bien les salariés que les établissements eux-mêmes – car il ne s’agit pas de mettre des caméras partout : on va cibler sur le coeur du sujet, c’est-à-dire la zone d’étourdissement et d’abattage.