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La réflexion sur la formation est d’ores et déjà engagée à la suite du rapport rédigé par la commission d’enquête. Nous avons décidé, et cela figure dans la loi Sapin, de placer des référents en bien-être animal dans les abattoirs. Depuis nous nous préoccupons en toute logique de leur formation et de la mise en place d’un tutorat.
Je n’ai rien, à titre personnel, contre l’idée de rédiger un rapport, mais celui-ci n’est peut-être pas nécessaire. Il suffirait de demander – et c’est la proposition que je vous fais – à la direction générale de l’alimentation et à la direction générale de l’enseignement et de la recherche, qui ont commencé à travailler sur ces sujets, d’expliquer devant la commission des affaires économiques les pistes sur lesquelles elles travaillent. Un rapport ne contiendrait pas autre chose. Pour ma part, je suis prêt à discuter avec votre commission de ce qui a été entrepris en matière de formation, d’autant que les dispositions prises en ce domaine devront être régulièrement réactualisées.
Sur la demande de M. Vitel, je m’en remets donc à la sagesse de l’Assemblée. Quant aux autres amendements, je n’y suis pas favorable. Mais je le répète, dans le domaine de la formation, la réflexion est d’ores et déjà engagée.