Encore un mot, madame la présidente. Je n’ai pas pris beaucoup la parole ce soir, pour ne pas allonger les débats, mais je tiens à rappeler que c’est le groupe de l’Union des démocrates et indépendants qui a permis, grâce à un amendement que j’ai déposé, le renforcement drastique des sanctions prévues en cas de maltraitance. Nous avons en effet multiplié par deux les sanctions pénales et par quatre les sanctions financières. C’est le principal dispositif, qui est d’ordre législatif, alors que le reste était plutôt d’ordre réglementaire et ne justifiait pas qu’on recoure à la loi.