Je partage les propos de Mme Guittet : je suis, moi aussi, gênée d'entendre parler de flux à propos de femmes et d'hommes qui fuient leur pays en guerre.
Ma question, porte sur les mineurs étrangers isolés qui se trouvent actuellement dans les hot spots, notamment en Grèce, et qui ne peuvent bénéficier d'une réinstallation ou d'une relocalisation en France. Parce qu'ils n'ont pas de parents, ces mineurs, qui remplissent pourtant toutes les autres conditions, sont privés de la possibilité d'être accueillis dans notre pays. Pour eux, c'est la double peine. Est-ce un chantier que vous pourriez ouvrir avec l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), monsieur le ministre ?