Depuis 2012, notre majorité s’est engagée pour que les usines qui ferment ne laissent pas derrière elles un désert. La loi dite Florange, adoptée en 2014, oblige à la recherche d’un repreneur. Nous avons renforcé tous les dispositifs d’accompagnement financier, de formation et de retour à l’emploi.
Monsieur le Premier ministre, les salariés et leurs familles sont inquiets. Nous sommes préoccupés. Comment le Gouvernement intervient-il sur ce dossier, notamment au regard de la situation des 300 salariés ?