Monsieur le député, votre question exprime une contradiction : vous avez expliqué que le prix du lait n’était pas suffisamment élevé avant de dire que celui du beurre était en train d’exploser, frappant ainsi certaines industries de la transformation. Vous pointez là les difficultés de gérer un marché de produits agricoles.
Vous avez fait référence aux quotas laitiers : si c’était moi qui les avais supprimés, je reconnaîtrais mon erreur, mais ils ont été abandonnés bien avant mon arrivée au ministère de l’agriculture.