Le Gouvernement a cependant entendu les objectifs recherchés par le législateur, qui sont des objectifs de protection des consommateurs, considérés en quelque sorte comme captifs de leur contrat d’assurance, et d’ouverture du secteur de l’assurance emprunteur à la concurrence. Sur cette appréciation, le Gouvernement s’en est remis la sagesse du Parlement.