Et il y a quelques jours, ce n’est pas un hasard si le nouveau président de la première puissance mondiale, tout juste investi, engageait la suppression de l’Obamacare et rayait d’un trait de plume, misogyne et rageur, les dispositions permettant de financer les organisations non-gouvernementales qui pratiquent l’IVG ou qui en font la promotion. Les femmes sont à la fois les premières cibles et les premières victimes.
Oui, partout dans le monde, il souffle un vent mauvais sur les droits et les libertés des femmes. Pour toutes et sur tous les continents, la menace d’un retour en arrière n’a jamais été aussi forte.