Je n’oublie pas Mme Maud Olivier.
Je n’entrerai pas dans le détail du texte : tout a été dit. En revanche, j’ai éprouvé récemment quelques contrariétés, voire des colères retenues, dont je voudrais vous faire part. Ainsi, un de nos collègues de l’opposition a comparé, au micro d’une radio de grande écoute, les informations délivrées sur internet aux femmes voulant accéder à l’avortement à une notice de médicament contenant du paracétamol. Tout de même ! C’est honteux !