Vous avez le choix : défendre la loi SRU ou l’oublier, défendre la loi ALUR ou l’oublier, poursuivre les efforts ou les abandonner.
Pour notre part, nous avons choisi notre camp : celui qui se place auprès des personnes ayant du mal à se loger, celui des personnes qui veulent des logements sociaux dans des communes qui ne les construisent pas. Et c’est pour cette raison que nous avons demandé aux préfets d’agir sur le sujet. Les résultats sont là, et nous devons en effet poursuivre les efforts.