Ce que je peux vous dire très clairement, c’est que l’administration du Quai d’Orsay et nos ambassades au Liban et en Jordanie n’ont rien fait d’autre que de se conformer au très strict protocole républicain dû à un ancien ministre. D’ailleurs, j’étais moi-même, quelques semaines auparavant, à Bamako, où j’ai pu constater que François Fillon était reçu dans les mêmes conditions par nos ambassades, ce qui est bien normal.