Je partage totalement le point de vue de M. Lefebvre. Nous avons trop souvent la tentation d'envoyer des représentants dans des instances exécutives, ce qui rend le Parlement juge et partie et altère ses possibilités d'intervention. Ainsi, je ne suis pas certain que, si la question se posait aujourd'hui, nous demanderions toujours à avoir des représentants au sein de l'établissement public de réalisation de défaisance du Crédit lyonnais.